Revue littéraire L’Eau-forte n^o4

Ivresse bucolique

Des fruits mûrs

Encre de van Gogh. Trois calligrammes originaux de Gabriel Pardon. Gravures d’après Raphaël et Matthäus Merian. Ouvrage collectif. Revue littéraire L’Eau-forte.

56 pages, 137×210 mm.
septembre 2018 | 9782491181079

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10,00 €

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Un numéro automnal, autour de l’homme, de la nature, de l’ivresse...

Paru au mois de septembre, ce numéro croise les thématique de l’ivresse et de la nature.

À travers les contes (la cruelle et truculente nouvelle Une vente de Maupassant), les mythes (l’ivresse de Noé) ou la poésie (poètes pré-islamiques, André Chénier), est explorée la relation de l’homme à la boisson, sur fond d’automne, entre ville et champs, entre loi et plaisir.

« Le fruit est mûr ; et garde en sa douce âpreté
D’un fruit à peine mûr l’aimable crudité.
L’oiseau d’un doux plumage enveloppe son aile.
Du milieu des bourgeons le feuillage étincelle. »

(André Chénier)

Sommaire

L’ivresse bucolique, par Raphaël Deuff.

Luc Fivet : Le Philosophe imbu et la fuite d’eau.

Jean Jaurès : De la réalité du monde sensible, « La Sensation et la Forme ».

Sofian Bouzerara : Ivresse et interdits en France.

Guy de Maupassant : Une vente, nouvelle.

Karine Josse : Trois bucoliques, poèmes.

André Chénier : Damalis, dialogue bucolique.

Alexandre Ataraxie : Trois poèmes.

Nicolas Perron : Les Poètes buveurs, lettre sur la poésie dite « jahîlite ».

Anonyme : Le Mystère du Vieil Testament, « L’ivresse de Noé » (xv^e siècle).