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Marc-Antoine Girard de Saint-Amant

Le Printemps des environs de Paris

Et trois autres sonnets sur les saisons

(Couverture : Le Printemps des environs de Paris)

Coll. « Édisolum ».

16 pages, 180×120 mm.
juillet 2016 | 9782491181154

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6,00 €

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Quatre sonnets sur les saisons, par le poète « buveur et bretteur » Marc-Antoine de Saint-Amant.

Les sonnets de ce recueil de Saint-Amant (1594–1661) se font l’écho de ses nombreux voyages, vers l’Afrique et en Italie notamment. Son œuvre poétique, publiée durant sa vie de façon éparse, sera redécouverte par les parnassiens, en particulier Théophile Gautier.

Sommaire

Le printemps des environs de Paris.

L’Été de Rome.

L’Automne des Canaries.

L’Hiver des Alpes.



Marc-Antoine Girard de Saint-Amant : Le Printemps des environs de Paris

Collection : Édisolum

Prix de l’ouvrage : 6,00 €.

Format : 16 pages, 180×120 mm.

Parution : juillet 2016.

ISBN : 9782491181154


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L’auteur : Marc-Antoine Girard de Saint-Amant

Marc-Antoine Girard de Saint-Amant est né dans les environs de Rouen en 1594. Son père, protestant, est marchand verrier dans la ville. Rejoignant la capitale à la fin des années 1610, il y rencontre les poètes Théophile de Viau, Marolles, Bois-Robert ou encore Faret, et y jouit de l’amitié du duc de Retz, puis de la compagnie orgiaque d’Henri de Lorraine, comte d’Harcourt. Il se convertit au catholicisme en 1625. Voyageant beaucoup dans les années 1630, notamment à l’occasion de campagnes militaires, il découvre Rome, Londres, les Canaries, l’Espagne, et le nord de l’Europe (Hollande, Pologne, Suède…). Cosmopolite, il maîtrise l’italien, l’espagnol et l’anglais. Grand joueur de luth et joyeux buveur, il peindra dans ses poèmes les lieux et occasions de ses festins, dans une veine réaliste et grotesque qui en fait le principal introducteur du style burlesque en France. Il pliera parfois son ton cru et réaliste à l’attention spirituelle, dans des pièces comme Le Contemplateur ou le vaste Moïse sauvé, qu’il compose vers la fin de sa vie. Les vers de La Solitude, composée dès 1620, seront adaptés par Purcell en chanson dans leur traduction par Katherine Philips (1632–1664). Saint-Amant meurt à Paris, au mois de décembre 1661.


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