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Littérature | Le 16 février 2024, par Raphaël Deuff. Temps de lecture : dix-huit minutes.


« Des auteurs et des œuvres »

Howard Phillips Lovecraft

Romancier américain du xxe siècle

Méconnue de son vivant, l’œuvre d’Howard Phillips Lovecraft n’accèdera à la notoriété que plusieurs décennies après sa mort, en 1937. Élaborant dans ses « récits étranges » une cosmogonie sceptique et matérialiste où l’horreur côtoie la science-fiction, Lovecraft fait aujourd’hui figure de classique de la littérature de genre.

(Image de l'article n°940 : Lovecraft à Boston en 1921.)
Lovecraft à Boston en 1921. © Sambuc éditeur, 2024

Auteur presque inconnu de son vivant, Howard Phillips Lovecraft n’accède à la notoriété que plusieurs décennies après sa mort, en 1937, en grande partie grâce au travail éditorial effectué par ses disciples – August Derleth et Donald Wandrei créant notamment la maison d’édition Arkham House en 1939. Cantonné au statut d’écrivain amateur – il se rapproche de l’United Amateur Press Association (UAPA) dans les années 1910 –, il entretient avec ses pairs, auteurs de « récits étranges » destinés aux magazines populaires pulp, une très vaste correspondance (près de 120 000 lettres recensées, en particulier avec d’autres écrivains comme Robert Bloch, Clark Ashton Smith, Robert E. Howard…) qui sera, dans les dernières années de sa vie, son seul lien au monde extérieur.

Né le 20 août 1890 à Providence, dans le Rhode Island (nord-est des États-Unis), Lovecraft y restera pratiquement toute sa vie, en dehors d’une brève installation à New York, dans le quartier de Brooklyn, avec son épouse Sonia Greene, et de quelques excursions dans les villes de la Nouvelle-Angleterre, comme à Boston (Massachusetts) où il assiste à des conférences de l’UAPA. Son plus long voyage est celui qu’il accomplit en 1934, trois ans avant sa mort, pour se rendre en Floride chez son ami Robert H. Barlow, dont il fera son exécuteur testamentaire.

Élevé par sa mère et ses tantes – le père de l’écrivain est interné à ses trois ans, et mourra à l’hôpital cinq ans plus tard –, contraint par la dépression d’interrompre ses études sans diplôme, le jeune homme étudie et découvre de façon autodidacte la littérature et les sciences, souvent avec l’appui de son grand-père maternel, Whipple Van Buren Phillips, dont les entreprises assurent le confort matériel du foyer. Lovecraft vivra chichement, après la mort de l’aïeul, de quelques révisions et d’une activité de prête-plume. Reclus à Providence à partir de 1926, il meurt le 10 mars 1937, des suites d’un cancer de l’intestin.

L’œuvre de H. P. Lovecraft

Cette œuvre « d’horreur surnaturelle », qui rassemble outre quelques romans et novellas une cinquantaine de nouvelles et de nombreuses œuvres de collaboration, aborde par le biais de la représentation fantastique les thèmes de l’être, de l’homme et des origines, sous un angle qui devient au fil des récits de plus en plus pessimiste.

Elle connaît trois grandes périodes, attachées à quelques sources d’inspiration majeures : jusqu’au début des années 1920, les fictions et poèmes de Lovecraft dessinent une tonalité gothique et macabre, placée sous le signe d’Edgar Allan Poe. Y succède une période dite « onirique », marquée par l’œuvre fantasmagorique de l’écrivain anglais Lord Dunsany. Enfin, à partir de la deuxième moitié de cette décennie, vers 1927, et jusqu’à sa mort, s’ouvre une période cosmique et portée vers la science-fiction (déjà présente dans Dagon, Beyond the Wall of Sleep ou The Temple), où l’humanité évolue au sein d’un cosmos mécanique, nu et dépouillé de toute signification spirituelle ; décortiqué dans ses fantasmes, ses désirs et ses limites, l’homme atteint les dimensions d’une poussière infime. Parmi les sources d’inspiration de cette dernière partie de son œuvre, outre l’écrivain Arthur Machen, on retrouve l’intérêt marqué de Lovecraft pour les découvertes et inventions scientifiques, et les thèses du philosophe allemand Oswald Spengler sur le Déclin de l’Occident (1918).

Contaminations

Un ton patient, méticuleux, détaillé : l’œuvre de Lovecraft procède d’une lente contamination du lecteur par la narration, doctorale d’une vaste érudition inventée (Through the Gates of the Silver Key, 1934), de l’irruption d’un « mal » perçant et pénétrant la vie des personnages. Sans doute faut-il y voir la contagion même d’une pensée sans cesse terrifiée, angoissée à la démultiplication de possibilités que creuse peu à peu la dissociation entre l’imagination et le réel. L’attitude rationnelle, empirique, mais en même temps sceptique, est alors ce qui restaure une distance, un sursis à l’anéantissement, promis par la destruction des repères et des certitudes : les rapports entre la veille et le sommeil s’inversent, et l’érudit qui compile, entre deux rêves, les documents attestant la réalité qui corrompt son existence, trouve là un repos à l’épreuve à laquelle ses songes le soumettent (The Call of Cthulhu, 1928 ; The Shadow over Innsmouth ; The Shadow Out of Time, 1936).

Aussi faut-il sans doute chercher, dans ce lien pour le moins distendu au réel, et qui fut celui de l’écrivain dès son enfance (il fréquente peu l’école et fera plusieurs crises de dépression nerveuse), non une justification, mais à tout le moins une matrice féconde au racisme permanent, enragé que manifeste H. P. Lovecraft, dans sa correspondance comme dans ses quelques interactions avec le monde extérieur – dans la foule cosmopolite de New York, ou auprès de sa propre femme, Sonia Greene, juive d’origine ukrainienne et conduite plus d’une fois, selon son témoignage, à rappeler à son époux, au cours de leur courte liaison, ses propres origines.

Traduite aujourd’hui dans quelque vingt-cinq langues, l’œuvre de Lovecraft, classique de la littérature de genre, a marqué de nombreux écrivains, à commencer par le romancier américain Stephen King, ou le scénariste de bandes dessinées Alan Moore.

Chronologie de la vie de H. P. Lovecraft

1890. — Naissance, le 20 août, d’Howard Phillips Lovecraft, dans la maison familiale située à Providence, dans le Rhode Island (nord-est des États-Unis). Il est le fils de Winfield Scott Lovecraft, vendeur de bijoux ambulant, et de Sarah Susan Phillips Lovecraft, née Phillips. Le grand-père maternel de Lovecraft, Whipple Van Buren Phillips (1833-1904), est homme d’affaires et assure un certain confort matériel au couple.

1893. — Le père de Lovecraft est interné au Butler Hospital, suite à une crise de démence probablement liée à la syphilis. Il y restera jusqu’à sa mort, cinq ans plus tard. Whipple Phillips s’occupe de son petit-fils et devient pour lui une figure paternelle.

1897. — Écrit un poème inspiré de l’Odyssée, ainsi que deux fictions de jeunesse : Le Noble Espion (The Noble Eavesdropper, mentionnée dans une lettre à J. Vernon Shea de 1931) et La Petite Bouteille de verre (The Little Glass Bottle, publiée en 1959).

1898. — Mort du père. Lovecraft lit de nombreux écrits scientifiques et s’intéresse à l’astronomie.

1903. — Lovrecraft se passionne pour l’astronomie, et lance une publication périodique amateur, le Rhode Island Journal of Astronomy, imprimée en hectographie. Il créera aussi une Scientific Gazette, traitant de chimie.

1904. — Au début de l’année, la Owyhee Land and Irrigation Company, principale entreprise de Whipple Phillips, subit un revers qui érode les finances de la famille. Whipple Phillips meurt quelques semaines plus tard, le 28 mars, à 70 ans. Sarah Susan déménage avec son fils dans un petit appartement. En septembre, le jeune homme entre à la Hope High School de Providence.

1905. — En avril, Lovecraft achève une de ses premières nouvelles, La Bête dans la caverne (The Beast in the Cave). À partir de cette époque, les écrits de Lovecraft sont marqués par la lecture de l’œuvre d’Edgar Allan Poe.

1908. — Peu de temps avant d’obtenir son diplôme de fin d’études secondaires, Lovecraft est victime d’une crise de dépression nerveuse. Il dit souffrir de « maux de tête intenses, [d’]insomnie et [d’]une faiblesse nerveuse généralisée ». Durant les quelques années qui suivent il écrit surtout de la poésie ; son premier poème paraîtra en 1912.

1911. — Lovecraft correspond avec les éditeurs de magazines pulps, comme The Argosy, et écrit des critiques et des textes pour l’United Amateur Press Association (UAPA). Il rejoindra l’association en avril 1914.

1916. — Publication de la nouvelle L’Alchimiste (The Alchemist) dans un journal de l’UAPA, puis de La Tombe (The Tomb) et de Dagon l’année suivante.

1919. — Durant l’hiver 1918-1919, la mère de Lovecraft souffre d’une dépression nerveuse et part vivre chez sa sœur aînée, Lillian Phillips Clark. En mars, elle est internée au Butler Hospital. Lovecraft découvre l’œuvre de Lord Dunsany, et son écriture s’oriente vers le récit fantasmagorique et étrange (période dite « onirique », 1920-1927). Dans l’année, il publie notamment Au-delà du mur du sommeil (Beyond the Wall of Sleep), Le Vaisseau blanc (The White Ship) et Le Malheur qui vint sur Sarnath (The Doom That Came to Sarnath)

1920. — Au début de la décennie, Lovecraft rencontre Frank Belknap Long (1901-1994) à l’occasion d’une rencontre d’écrivains amateurs. Frank Long deviendra un proche ami de Lovecraft et son confident. Publication de nombreuses nouvelles et récits, dont Les Chats d’Ulthar (The Cats of Ulthar), Celephaïs, le poème en prose Nyarlathotep et la nouvelle Le Chaos rampant (The Crawling Chaos), écrit en collaboration avec Winifred Virginia Jackson. Lovecraft découvre les œuvres d’Arthur Machen (1863-1947) et d’Algernon Blackwood (1869-1951), qui influencent son style. Il s’intéresse également aux travaux et aux thèses pessimistes d’Oswald Spengler (1880-1936), dont l’essai Le Déclin de l’Occident (Der Untergang des Abendlandes, 1918).

1921. — Le 24 mai, mort de Sarah Susan Phillips Lovecraft, mère de l’écrivain, au Butler Hospital. Début juillet, se tient à Boston une convention de la National Amateur Press Association, au cours de laquelle Lovecraft fait la rencontre de Sonia Greene (1883-1972), modiste et journaliste amateure d’origine ukrainienne, veuve de Samuel Greene. En novembre, Lovecraft publie dans The Wolverine la nouvelle La Cité sans nom (The Nameless City), ou apparaît pour la première fois un des personnages du mythe de Cthulhu, le poète fictif Abdul al-Hazred. Rédaction de L’Étranger (The Outsider), nouvelle fantastique d’atmosphère cauchemardesque marquée par le style de Poe, qui paraîtra en 1926.

1922. — Publication en février, dans le périodique The Liberal, d’Un aveu de mécréance (A Confession of Unfaith), qui expose sa conception concernant la religion. Lovecraft donne des lectures publiques de ses œuvres (notamment à Boston) et assiste à des conférences sur la littérature. Vers la même période, l’influence de l’œuvre d’Arthur Machen (en particulier La Colline des rêves, The Hill of Dreams, 1907) et le thème de la survivance d’une malédiction ancienne commencent à poindre, comme dans The Lurking Fear (1923) et The Rats in the Walls (1924).

1923. — En mars, lancement de la revue Wreid Tales qui publiera de nombreuses fictions de Lovecraft.

1924. — Mariage de Lovecraft et de Sonia Greene, le 3 mars, dans une chapelle de Manhattan. Le couple emménage dans la petite maison de Greene, près de Prospect Park au cœur de Brooklyn. Lovecraft écrit la nouvelle La Maison honnie (The Shunned House), qui sera publiée après sa mort. À cette époque, il fait la rencontre d’autres écrivains new-yorkais qui formeront le groupe informel du « Kalem Club », nommé d’après les initiales des patronymes de ses membres : K (George Willard Kirk, Rheinhart Kleiner, Herman Charles Koenig), L (Arthur Leeds, Frank Belknap Long, H. P. Lovecraft, Samuel Loveman) et M (Henry Everett McNeil, James F. Morton).

1925. — Lovecraft débute la rédaction de L’Épouvante du surnaturel en littérature (Supernatural Horror in Literature), son principal essai littéraire, dans lequel il étudie les principes de la narration surnaturelle et de l’esthétique de l’épouvante. Le texte est écrit entre novembre 1925 et mai 1927 et sera publié pour la première fois dans le magazine The Recluse avant d’être revu par Lovecraft dans la décennie qui suit. La même année, entame une correspondance avec l’écrivain Donald Wandrei (1908-1987). – Le ménage de Greene et Lovecraft a rapidement des difficultés à subsister. Le 1er janvier, Greene quitte la maison de Brooklyn pour Cleveland en réponse à une offre d’emploi, et Lovecraft part s’installer dans un petit appartement au premier étage sur Clinton Street, à la lisière du quartier de Red Hook, un lieu qu’il prendra en détestation. À la même période, il compose les nouvelles L’Épouvante à Red Hook (The Horror at Red Hook), Lui (He), et entame la rédaction de ce qui deviendra L’Appel de Cthulhu (The Call of Cthulhu). Greene envoie à Lovecraft une allocation hebdomadaire pour lui permettre de subsister. Le couple vit séparé.

1926. — Le 17 avril, Lovecraft quitte définitivement New York et retourne à Providence, où il s’installe chez ses tantes maternelles, Lillian Delora Phillips Clark et Annie Emeline Phillips Gamwell. Il achève la même année une de ses œuvres les plus célèbres, L’Appel de Cthulhu (The Call of Cthulhu).

1927. — Lovecraft compose ses deux premiers romans, qui ne paraîtront qu’à titre posthume : La Quête onirique de Kadath l’inconnue (The Dream-Quest of Unknown Kadath) et L’Affaire Charles Dexter Ward (The Case of Charles Dexter Ward). En août, publication de L’Épouvante du surnaturel en littérature dans l’unique numéro du magazine The Recluse. Écriture (mars) et publication (septembre) de la nouvelle La Couleur tombée du ciel (The Colour out of Space). Son écriture prend un tour pessimiste et cosmique, et se rapproche de la science-fiction.

1928. — Sonia Greene demande le divorce, qui sera prononcé par un tribunal le 25 mars 1929 ; toutefois Lovecraft ne signe pas le décret final, et leur séparation restera en suspens jusqu’à la mort de l’écrivain. Greene épousera en 1936 un médecin de Los Angeles, Nathaniel Davis. En novembre se tiennent les élections présidentielles américaines : Lovecraft vote pour Herbert Hoover (1874-1964), candidat républicain qui remportera le scrutin.

1929. — Débute le recueil de sonnets « d’horreur cosmique » Fungi de Yuggoth (Fungi from Yuggoth).

1930. — Correspond pour la première fois avec Robert Ervin Howard (1906-1936) et Henry Saint-Clair Whitehead (1882-1932), rédige le court roman Celui qui chuchotait dans les ténèbres (The Whisperer in the Darkness), et fait la connaissance épistolaire des écrivains Joseph Vernon Shea (1912-1981) et Seabury Grandin Quinn (1889-1969).

1931. — Les Montagnes hallucinées (At the Mountains of Madness, publié en 1936) et Le Cauchemar d’Innsmouth (The Shadow over Innsmouth, idem).

1932. — Le 3 juillet, mort de Lilian Clark, tante de Lovecraft. En mai de l’année suivante, le romancier déménage dans une petite chambre louée avec son autre tante, Annie Gamwell, au 66 College Street, derrière la John Hay Library. Élections présidentielles en novembre : Lovecraft vote pour le démocrate Franklin D. Roosevelt (1882-1945), qui sera élu à une large majorité.

1933. — Le Livre (The Book), nouvelle inachevée inspirée des Fungi de Yuggoth.

1934. — Lovecraft voyage en Floride où il est accueilli chez son ami Robert H. Barlow, qui deviendra l’exécuteur testamentaire de l’écrivain. Barlow se voit confier à cette occasion le carnet de Lovecraft, baptisé Commonplace Book, dans lequel l’auteur inscrivait ses idées et ses plans narratifs ; Barlow en renverra par la suite à Lovecraft, revenu à Providence, une copie dactylographiée, et conservera l’original.

1935. — Écrit Le Défi de l’au-delà (The Challenge from Beyond, publié en septembre), Celui qui hantait les ténèbres (The Haunter of the Dark), Dans l’abîme du temps (The Shadow out of Time). Le refus par Wreid Tales de Dans l’abîme du temps incite Lovecraft à se détourner de l’écriture de ses projets personnels ; il se consacre à une activité de prête-plume (The Mound, Le Tertre, signé de Zealia Bishop ; The Winged Death, La Mort ailée, signé d’Hazel Heald ; The Diary of Alonzo Typer, Le Journal d’Alonzo Typer, signé de William Lumley).

1936. — Grâce à l’appui de Donald Wandrei, le magazine Analog Science Fiction and Fact publie les Montagnes hallucinées et Dans l’abîme du temps. Dans une lettre à Jennie K. Plaisier du 8 juillet, Lovecraft décrit l’évolution de ses positions politiques, et affirme une ouverture aux idées de la gauche, tout en rejetant le marxisme. Suicide, le 11 juin, de l’écrivain Robert E. Howard (1906-1936), ami et correspondant de Lovecraft (les deux hommes ne se sont jamais rencontrés). Lovecraft est profondément affecté.

1937. — La santé de l’écrivain se détériore rapidement. Le 10 mars, il est admis au Jane Brown Memorial Hospital de Providence où lui est diagnostiquée une tumeur de l’intestin grêle à un stade très avancé, aggravée d’une néphrite chronique (maladie de Bright). Howard Phillips Lovecraft meurt le matin du 15 mars, à l’âge de quarante-six ans.

1939. — August Derleth (1909-1971) et Donald Wandrei (1908-1987) fondent la maison d’édition Arkham House pour publier les œuvres de Lovecraft.

1947. — En octobre, Derleth acquiert l’ensemble des droits sur les textes publiés dans le magazine Weird Tales.

1973. — Première édition fidèle du Carnet (Commonplace Book), en tirage privé, après la découverte de l’exemplaire original conservé à la John Hay Library de Providence. Suivra un autre tirage en 1987.


Raphaël Deuff


Aller plus loin

Contenu audio : H. P. Lovecraft : La Bête dans la caverne, lu par Baptiste Hernandez — Capsule Sambuc (youtube.com)


Entités nommées fréquentes : Lovecraft, Howard Phillips Lovecraft, Providence, Phillips, UAPA, Butler Hospital, Sonia Greene, Boston, Arthur Machen, Greene, Brooklyn, Red Hook, Cthulhu, New York, The Call, Épouvante, Robert, Barlow, Beyond, The Shadow, Donald Wandrei.


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